INTRODUCTION

Le métier de designer est plutôt récent et, quoi qu’encore plutôt méconnu de la population, connaît depuis quelques années une ascension fulgurante. Ce métier, par sa grande diversité, comporte plusieurs domaines de spécialisation tels que l’architecture d’intérieur, le stylisme, l’automobile, la conception de bijoux… Le domaine de spécialisation que nous allons présenter est l’architecture d’intérieur. Nous avons fait le choix de nous pencher sur le métier de designer architecte d’intérieur parce que nous en avons pris connaissance et il nous a intéressé. Nous avons alors eu envie d’en découvrir davantage à travers les Travaux Personnels Encadrés. Pourquoi parle–t–on autant du designer architecte d’intérieur aujourd’hui ? Nous tenterons d’y répondre en étudiant en premier lieu le Design et le métier de designer architecte d’intérieur, et en nous intéressant ensuite à la relation entre le designer architecte d’intérieur et la société.
 

I) Le Design et le métier de designer architecte d’intérieur.

A) L’historique du Design (voir Annexe 1).

         Le Design apparaît vers la fin du XIX° siècle (voir Annexe 2). En 1918, le Bauhaus est fondé à Weimar en Allemagne par W. Gropius (voir Annexe 3). Cette école d’architecture et d’arts appliqués joue alors un grand rôle dans l’évolution des idées et des techniques modernes. Y furent maîtres le peintre suisse J. Itten (1888 – 1967), les peintres Feininger, Klee, O. Kandinsky, ou encore l’architecte suisse H. Meyer (1889 – 1954). Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les nazis ont fermé cette école et la majorité des élèves a migré aux Etats – Unis. Ce sont ces mêmes élèves qui ont inspirés l’architecture des buildings et qui ont révolutionnés le Design dans le monde entier.    C’est pourquoi c’est d’abord aux Etats – Unis et en Grande Bretagne que le mot « design » prend un sens élargi à toutes les productions d’objets à la fois artisanales et industrielles.

Aux Etats – Unis, le mot « design » s’impose après la crise de 1929. Son usage arrive en Atlantique en Europe d’après guerre. Il marque alors un avantage conceptuel en Allemagne sur l’allemand « gestalung » qui signifie proche dessin, ou sur l’italien « progettazione » qui signifie proche projet. En 1930, le Design se démarque avec la tendance « styling ».

Il faudra attendre les années 1960 pour voir ce mot arriver en France et il n’entre définitivement dans le vocabulaire industriel qu’en 1965.   

Dans les années 1960, le Design prend un sens plus large et se banalise au près du grand public (voir Annexe 4). Il se démarque dans les années 1970 avec la tendance « kitsch ». Ce mot est utilisé pour un objet, un décor ou une œuvre d’art dont le mauvais goût, voire la vulgarité, voulus ou non, réjouissent les uns, et rebutent les autres.    

Dans les années 1980, le Design est sur – médiatisé. Au tout début des années 1990, la mode « design » ainsi que toutes les rubriques design disparaissent.

C’est en 1995 que le Design réapparaît. Il est qualifié de « modeste » et reprend le chemin des grandes entreprises.
En 1996, la profession de designer n’a toujours pas de statut officiel.
 

B) Définition du métier de designer architected’intérieur.

Le mot « design* »  est un terme anglais qui signifie concevoir, créer. Son origine latine « signum » signifie le signe, le symbole. Le terme design possède de multiples origines. Il signifie à la fois « dessein » et « dessin ». « Dessein » indique le propre de l’objet industriel. C’est-à-dire que tout s’y décide au départ, au moment du projet initial fait à la main. Le projet se différencie en cours d’exécution. « Dessin » précise que dans le projet, le designer n’a pas à s’occuper des fonctions pures, affaires de l’ingénieur, mais seulement de la disposition et de la forme des organes dans l’espace et dans le temps, c’est-à-dire de la configuration. Le Design a donc une fonction très complexe. Cela explique qu’il ait fallut beaucoup de temps avant d’en apercevoir toutes les façades.

Le praticien du design est le designer*. Il s’est développé au XX° siècle. Son rôle est de créer des objets, des environnements, des œuvres graphiques à la fois fonctionnelles, esthétiques, et conformes aux impératifs d’une production  industrielle.

L’architecture d’intérieur est une branche de spécialisation du designer. Un designer peut donc être architecte d’intérieur mais un architecte d’intérieur n’est pas forcément un designer. L’architecte d’intérieur est un artiste et un technicien. Il imagine l’aménagement des appartements, magasins, hôtels, navires, bureaux… Son impératif est de marier à la fois le fonctionnel* et l’esthétique*. Le métier d’architecte d’intérieur a de l’avenir. Le domaine de l’architecture d’intérieur se divise en trois branches :

- les architectes d’intérieur qualifiés,

- les décorateurs spécialisés en architecture d’intérieur,

- les designers spécialisés en architecture d’intérieur.
 

C) Description de ce métier.

1)   Que fait le designer ?

Le designer est chargé de concevoir les objets de notre environnement d’une façon rationnelle et harmonieuse dans des secteurs industrialisés et très variés. Le designer intervient sur les matériaux, leurs formes et leurs couleurs en apportant parfois des innovations techniques et ergonomiques (de qualité). Il prend également en charge la présentation, c’est-à-dire l’emballage, le stand…

2) Ses moyens et méthodes.

 En premier lieu, le designer effectue des recherches et fait des schémas pour mettre en évidence les grandes lignes du sujet proposé. Ensuite, il exécute un dessin technique sur ordinateur (voir Annexe 5) ainsi qu’une maquette en volume pour visualiser le produit (voir Annexe 6). Le designer travaille à partir d’un cahier des charges réalisé par les initiateurs du projet. Il s’aide également de documents comme le cahier de tendances, qui informe sur les matériaux ou encore les couleurs à la mode.

        3) Ses relations de travail.

         Le designer collabore avec des ingénieurs et techniciens du bureau d’étude chargés de modéliser l’objet et son outillage de fabrication. Il est assisté par un maquettiste ou par une personne chargée du prototype de façon à mettre en volume l’objet. Le designer collabore aussi avec des vendeurs sur le marketing où ils étudient les contraintes commerciales. Il peut être attaché à un site de production et travailler au sein d’un bureau d’étude, ou bien être indépendant et donner ses idées à des marques. Ce dernier système est appelé « Freelance ».
        Enfin, le métier de designer est essentiellement masculin mais se féminise peu à peu.

       4) Les qualités requises.

         Ce métier demande une connaissance des matériaux, une maîtrise des outils de dessin assistés par ordinateur et des aptitudes à travailler en trois dimensions. Le designer doit observer la société et avoir un esprit de synthèse pour être capable de faire évoluer des formes. De plus, il ne doit jamais cesser de rêver pour être très créatif* et innovant* de façon à améliorer notre environnement et ce, malgré de nombreuses contraintes commerciales et techniques.

        5) La formation et les débouchés.

 Les designers viennent en grande partie d’écoles d’arts comme les Beaux Arts, Arts Appliqués, Arts Déco, Boulle… La formation dure quatre ans et parfois cinq dans le cas où l’étudiant doit faire une Prépa de remise à niveau avant ces quatre années.
            Les débouchés pour un designer sont assez restreintes mais se diversifient dans de nombreux domaines.

6) Quelques chiffres.

      En France, de nos jours, on compte environ 3000 designers et 2000 architectes d’intérieur dont 730 qualifiés uniquement en tant qu’architecte d’intérieur. Les 1270 restant sont soit des décorateurs spécialisés en architecture d’intérieur, soit des designers spécialisés en architecture d’intérieur. Chaque année, environ 250 emplois de designer se libèrent. Le salaire de départ pour un designer qualifié est d’environ 1000 € et le salaire moyen est d’environ de 2000 €.

D) La place du designer dans la société actuelle.

        1)   La particularité du designer.

             Un designer est toujours à l’affût des nouvelles tendances*, participe ou s’intéresse de près à tous les salons de design, observe le monde qui l’entoure et doit posséder une immense culture de l’objet, de l’architecture, de la mode… Cela lui permet de sentir ou de créer les tendances à venir. De plus, il existe des cahiers de tendances : les produits sont crées longtemps avant d’être mis en vente. C’est un métier où il faut prendre des risques et oser.

2)   Y a-t-il des limites à ce métier ?

         Les designers se cachent entre le monde de l’art et le monde de la production. Ils s’inscrivent dans des démarches de conception qui s’industrialisent et se professionnalisent et ont de plus en plus de mal à valoriser et à protéger leur contribution.

Il n’existe pas de limites à la créativité d’un designer mais il y en a pour la réalisation. Certains designers essaient toujours de repousser ces limites alors que d’autres tentent de les trouver comme Borek Sipek, qui déclare que « pour casser les limites, il faut savoir ou elles sont. ». Par ailleurs, chacun veut garder sa culture, sa façon de vivre, ce qui a tendance à limiter l’innovation des designers.

Une autre limite importante peut être remarquée : malgré une avancée constatée ces dernières années, le designer architecte d’intérieur reste peu connu de la population. De plus, le diplôme du designer n’est toujours pas reconnu par l’Etat.

3)   Designer architecte d’intérieur,un métier d’avenir.

             En effet, avec la société de consommation qui ne cesse de s’accroître, le niveau de vie qui augmente, le temps libre toujours plus important et la demande toujours plus forte, le métier de designer architecte d’intérieur a encore un grand avenir au sein de la société.

II) La relation entre le designer architecte d’intérieur et la société.

 

A)  Les attentes de la société et du designer.

         1)   Les attentes de la société.

             Pour vendre un produit, on s’aperçoit qu’il est préférable pour un designer de mettre toutes les chances de son côté. En effet, un produit « designé » attirera plus un client qu’un produit banal. La société moderne attend des produits alliant l’esthétique, le fonctionnel et la qualité.

Cependant, les attentes ne sont pas les mêmes d’un milieu social à un autre. Les milieux aisés tiennent à ce que les trois critères cités apparaissent et ce sont généralement eux qui emploient des designers travaillant dans une agence. Les classes sociales aux revenus plus faibles n’ont généralement pas les moyens de s’offrir les services d’un designer architecte d’intérieur et mettent l’accent sur le prix avantageux et l’esthétique avant la qualité. L’originalité des objets demandés varie aussi en fonction des goûts des individus. Certains souhaitent un objet classique, d’autres un objet original mais en accord avec les tendances actuelles, et enfin certaines personnes veulent acheter des objets innovants et uniques défiant les modes et usages. Cela démontre la multiplicité du Design.

Face aux différentes demandes, le designer, dont le rôle est de satisfaire les attentes de la population, doit donc répondre à des critères précis. Rodrigo Rodriguez, président de Marcatré, éclaire ce point en déclarant que « Le design se fonde sur la capacité de distinguer et de prendre en compte les besoins fonctionnels et immatériels des utilisateurs. ».

   2)   Les attentes du designer.

             Tout d’abord, les agences de communication et de publicité se chargent « d’appâter » les clients potentiels. Les designers espèrent ainsi trouver de nombreux clients, leur objectif étant de favoriser la société de consommation* en créant une offre qui satisfera la demande afin que le client soit en quelques sortes contraint d’acheter encore et toujours plus.
En outre, le designer cherche à innover le plus possible et recherche tout au long de sa carrière à faire connaître ses idées, son travail.
Cependant, il dépend avant tout de ses clients. Il doit donc davantage se plier à leurs attentes qu’à ses propres attentes.
 

B) L’interaction entre le designer et la population.

1)   L’évolution de la société.

Avant l’apparition du Design, la société privilégiait le fonctionnel à l’esthétique dans le choix de ses meubles. Cela est dû à plusieurs facteurs. Premièrement, la population n’avait pas les moyens de s’offrir un bel intérieur. Deuxièmement, la tendance « design » n’était pas répandue et la population n’avait aucune connaissance de cet esthétisme car les meubles et objets n’étaient ni inventés ni dessinés par des designers (voir Annexe 7). Mais au cours du XX° siècle, la société a beaucoup évolué.

En effet, la société dans laquelle nous vivons est à présent une société de consommation. L’esthétique y est autant privilégiée que le fonctionnel. Cela s’explique par le fait que le travail a beaucoup évolué que cela soit au niveau du temps que les individus y consacrent ou des salaires versés. Par conséquent, de nos jours les individus ont généralement plus d’argent à mettre dans la décoration de leur lieu de résidence. En outre, le fait qu’ils aient plus de temps libre explique de même qu’ils passent plus de temps chez eux et donc qu’ils préfèrent avoir un intérieur plus confortable, plus convivial. Enfin, le Design, grandissant dans la société, attire et cette société de consommation implique que tout est fait dans le but d’inciter à la consommation.

          

   2) L’influence du designer sur la population.

Dans toutes les sociétés « modernes » d’aujourd’hui, les designers influencent la population sur la façon de décorer ou d’installer leur intérieur (voir Annexe 8). Chacun vit, dès sa naissance, immergé dans un univers de formes et d’objets conçus par des créateurs souvent inconnus. Par exemple, le premier biberon, les jouets, le petit lit, l’ampoule, la baignoire… tous ces objets sont issus de la plume de designers. Ils façonnent progressivement notre façon de voir et de vivre le monde qui nous entoure.

De plus, grâce au designer américain des années 1950 nommé  Raymond Loewy, nous pouvons très bien concevoir que les designers ont créé tout ce qui nous entoure. Ses œuvres se retrouvent aujourd’hui partout : dans toutes les maisons, sur les murs, mais aussi dans les villes puisqu’il a dessiné la bouteille de Coca – cola, conçut les logos de Shell, de TWA, des biscuits Lu… Raymond Loewy a également inventé une voiture et un réfrigérateur, auxquels il a apporté une touche personnelle et innovante. Enfin, il a participé à l’aménagement d‘un avion. Pour lui, « l’introduction d’une valeur symbolique et artistique dans les objets permet la possibilité d’une diffusion de masse. ».

 

            3) L’influence de la population sur le designer.

Les designers sont toujours à l’affût de nouvelles idées, tendances, mais sont tout de même contraints d’écouter les demandes et les attentes de la population.

Les désirs diffèrent en fonction du style d’habitation de chacun. Les designers ont donc la fonction de conseiller. Ils peuvent apporter leur touche d’originalité mais doivent satisfaire au mieux les attentes de la population. Les clients ont donc un grand pouvoir sur l’innovation du designer et ce dernier dépend beaucoup d’eux.
 

C) L’interaction entre le designer et les médias.

   1) L’influence du designer sur les médias.

        En effet, le designer influence beaucoup les médias* qui,  présents partout dans la société, montrent du Design à travers la publicité, les informations, la décoration des plateaux de télévision ou encore à travers la télé – réalité. La médiatisation d’objets « designés » montre l’influence que les designers exercent sur les médias.

        De plus, le seul mot « design » s’utilise couramment à travers les médias, ce qui est quelque chose de nouveau.

 

2) L’influence des médias sur le designer.

        Les expositions constantes du Design au grand public encouragent son expansion dans la société mais peuvent également donner des idées aux designers qui, toujours à l’affût du monde qui les entoure, vont s’inspirer de ce qu’ils ont vu tout en créant des nouveautés.

        En même temps, le fait de voir les tendances à travers les médias donne au designer une idée de la demande et de ce qui se vend le mieux. Cela peut orienter ses idées, ses choix et lui permet d’être toujours plus présent dans la société.  

 

(* = voir lexique.)

 

CONCLUSION

        Le designer architecte d’intérieur, qui est un créateur d’objets, d’environnements et d’ambiances, connaît avec l’ascension récente du Design en France une reconnaissance de son métier. Cela a un impact de plus en plus fort sur la société qui, pendant des années, s’est restreinte à un modèle de décoration classique. Mais grâce au Design, cette société a évolué et la mentalité de ses membres avec. C’est grâce à de multiples moyens tels que les médias, les différentes expositions de design, ou encore l’adaptation d’un nouveau mode de vie avec plus de temps libre et d’intérêt à la décoration que nous parlons autant du designer architecte d’intérieur aujourd’hui. Ces moyens ont permit et permettent encore l’expansion du Design et par conséquent l’expansion du métier de designer architecte d’intérieur. Enfin, avec la propagation incessante des nouveautés par le biais de la société de consommation, le designer compte de plus en plus de clients lui assurant encore de beaux jours devant lui.

 BIBLIOGRAPHIE

   Ouvrages.
 

Auteur: Charlotte et Peter Fiell.

Titre de l’ouvrage: « Design du XX° siècle ».

Editeur: Taschen.

Année: 2001.

Pagination: 768.

Auteur: Raymond Guidot.

Titre de l’ouvrage: « Histoire du design 1940 à nos jours ».

Editeur: Hazan.

Année: 2004.

Pagination: 388.

Auteur: Riccardo Montenegro.

Titre de l’ouvrage: « Les Meubles. Tous les styles de la Renaissance à nos jours ».

Mention d’édition: 2036.

Editeur: Solar.

Année: 1992.

Pagination: 192.

 

 

     Articles de périodiques.
 

Auteur: Inconnu.

Titre de l’article: « 10 ans de design en France. »

Titre du périodique: Beaux Arts Magazine.

Année: 1997.

Numéro: 154.

Pagination: 86 – 93.

Auteur: Inconnu.

Titre de l’article: « Un métier : designer industriel. »

Titre du périodique: Cosinus.

Année: 2001.

Numéro: 013.

Pagination: 5.

Auteur: Brice Atras.

Titre de l’article: « Design 1968/2000. »

Titre du périodique: Beaux Arts Magazine.

Année: 1998.

Numéro: 174.

Pagination: 60 -97.

Auteur: Chloé Braunstein.

Titre de l’article: « Design, l’âge de (dé)raison. »

Titre du périodique: Beaux Arts Magazine.

Année: 2004.

Numéro: 241.

Pagination: 50 – 55.

 

    Articles d’encyclopédies.

 Auteur: H. Van Lier et R. – H. Guerrand.

Titre de l’article: « Design ».

Nom de l’encyclopédie: Encyclopaedia Universalis.

Titre du volume: Dabrowska       Egypte.

Numéro: 7.

Pages: 262 à 266.

 

Auteur: Claude Kannas.

Nom de l’encyclopédie: Dictionnaire Encyclopédique Larousse.

Titre du volume: Pour tous.

Titre de l’article: « Innovation ».

Page: 812.

Titre de l’article: « Tendance ».

Page: 1549.

 

Auteur: texte de Paul Robert remanié et amplifié sous la direction de Josette Rey – Debore et Alain Rey.

Nom de l’encyclopédie: Le Petit Robert.

Titre du volume: Le Nouveau Petit Robert.

Titre de l’article: « Design ».

Page: 690.

Titre de l’article: « Designer ».

Page: 691.

Titre de l’article: « Innovation ».

Page: 1006.

Titre de l’article: « Créativité ».

Page: 567.

Titre de l’article: « Esthétique ».

Page: 920.

Titre de l’article: « Fonctionnel ».

Page: 1056.

Titre de l’article: « Société de consommation ».

Page: 505.

Titre de l’article: « Médias ».

Page: 1543.

 

    Site web.

 Nom du site: www.placeaudesign.com

Editeur: Hélène Carentz, Françoise Moinet, Sido Hennequart – Perrottet, Anne Dasriaux, Manuel Delannoy et Béatrice Schneider.

Date d’édition ou de la mise à jour: 1999.

Date de consultation: vendredi 7 janvier 2005.

 

Sont issues de ce site les citations de :

-        Borek Sipek, page 7,

-        Rodrigo Rodriguez, page 9,

-        Raymond Loewy, page 11.

 

      Autres.

 L’interview d’un designer architecte d’intérieur, qui travaille dans une agence de design rennaise. Cette interview a été réalisée le samedi 20 novembre 2004.

LEXIQUE

- Créativité : capacité d’imagination, d’invention, de création.

- Design : esthétique industrielle appliquée à la recherche de formes nouvelles et adaptée à leur fonctions (pour les objets utilitaires : les  meubles, l’habitation en général).

- Designer : spécialiste du design, décorateur qui adopte le style du Design : créateur, dessinateur, styliste.

- Esthétique (industrielle) : conception et fabrication d’objets manufacturés, visant à harmoniser les formes, les fonctions.

- Fonctionnel : qui remplit une fonction pratique avant d’avoir tout autres caractères.

- Innovation : action d’inventer, de créer quelque chose de nouveau.

- Médias : tout support de diffusion de l’information constituant à la fois un moyen d ‘expression et un intermédiaire transmettant un message à l’intention d’un groupe.

- Société de consommation : société d’un pays industriel avancé où l’économie, pour fonctionner, s’efforce de créer sans cesse de nouveaux besoins et où les jouissances de la consommation sont érigées en impératif au détriment de toute exigence humaine d’un autre ordre.

- Tendance(s) : orientation particulière d’un mouvement artistique.

 

INDEX

- Créatif = créativité: page 9.

-  Design: page 7.

- Designer: page 7.

- Esthétique: page 7.

- Fonctionnel: page 7.

- Innovant = innovation: page 9.

- Médias: page 15.

- Société de consommation: page 12.

- Tendance(s): page 10.